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La fonction du soupir

by Jean, d'Oran

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1.
Menthalo 04:15
Je n’ai plus de soucis, je n’ai plus de folies. Tu es partie loin de ma vie, tu es partie à l’infini. Il n’y a plus d’étoiles dans tes yeux, d’ailleurs j’ai tout oublié de tes yeux ; Les étoiles dans d’autres yeux, les étoiles parsèment les cieux. Mais dans la nuit qui vient il y aura Vénus, Et le jour qui viendra connaitra le soleil. Je verrai d’autres gens, je ferai des enfants… Mais il faut que tu saches Que le printemps c’est toi, Que chaque menthe à l’eau quand il fait chaud c’est toi, Que dans mon univers tu fus reine six mois, Que six mois passent vite quand on se sent heureux, Que tu m’as fait goûter le plaisir d’être deux, Et que quand on est deux on est souvent heureux. Bien sûr, j’aurai pu te le dire plus tôt, je ne trouvais jamais les mots ; J’avais toujours mal à mes maux, je ne trouvais pas le repos. Évidemment c’est un peu tard, mais il faut enlever ce fard : On ne s’avoue jamais trop tard, quand on n’est pas bien, quelque part. Mais quelque part en moi il y avait un cœur, Tu étais dans ce cœur, tu me cachais mon cœur, Mais mon cœur est à moi, à mon âme et à moi. Mais il faut que tu saches Que le printemps c’est toi, Que chaque menthe à l’eau quand il fait chaud c’est toi, Que dans mon univers tu fus reine six mois, Que six mois passent vite quand on se sent heureux, Que tu m’as fait goûter le plaisir d’être deux, Et que quand on est deux on est souvent heureux. Voilà, tu disparais, la brume te balaie. Je t’efface à jamais, tu es presque gommée. Tu as ta place aux souvenirs, au chapitre de mes sourires. Je ne vais plus pouvoir te lire, je dis adieu à ton navire. Ton oiseau est entré au port des souvenirs, Je n’ai plus rien de toi, juste quelques sourires ; Tu commences ta vie, je vais vivre ma vie. Mais il faut que tu saches Que le printemps c’est toi, Que chaque menthe à l’eau quand il fait chaud c’est toi, Que dans mon univers tu fus reine six mois, Que six mois passent vite quand on se sent heureux, Que tu m’as fait goûter le plaisir d’être deux, Et que quand on est deux on est souvent heureux. Et que quand on est deux, on est parfois heureux.
2.
Ses yeux qui reviennent vers ces grand yeux de Sienne. Ces yeux qui l’évitent, mais qui lui sourient. Et puis dans le noir ces yeux qui le cherchent, Ces yeux qui le trouvent et puis Le silence… Et puis tout de suite ses yeux qui la quittent. Ses yeux qui s’envolent Pour faire arrêter cet arrêt de cœur, Ce corps qui se tend et le feu de ce corps Qui lui monte aux joues… Après le silence son cœur qui s’emballe, Ses doigts qui l’embêtent à faire ce qu’ils veulent… … Un regard aux autres… Ses yeux qui s’embrument… Ne pas regarder vers ces grands yeux de Sienne, Parc’qu’il y a ses joues qui le trahiraient. Il ose regarder ces yeux qui le fixaient, Et ils se regardent, toute une éternité ! Une cigarette... Où est son briquet ? Elle doit lui sourire... Bon dieu, qu’est-ce qu’il fait chaud ! Tiens, son verre est vide... Où est son briquet ? C’est bête d’aimer ces yeux qui le fixaient… C’est bête d’aimer… Mais où est son briquet ? Que pourrait-il lui dire qui ne la choque pas ? Qui ne fasse pas rire et qui lui aille bien ? Elle est comme un soleil quand elle veut bien sourire. Et bien rare ici, Un soleil ! Elle est encore plus belle quand elle veut bien sourire. Elle est comme un soleil, jaillissant de la mer, Elle est…. leurs yeux se sont croisés l’espace d’une croche, Et sur le fil tendu entre leurs deux regards sont passées tant de choses Que je n’peux pas vous dire, Qu’on peut seul’ment chanter, Ou alors se les dire, les yeux au fond des yeux. les yeux au fond des yeux. Les yeux...
3.
Bien sûr 03:33
Tu es la vague, Je suis la grève. Je suis le fer, Tu es le feu. Je vais en toi, Tu viens en moi. Tes hanches dansent Entre mes bras Bien sûr on refera l’amour Encore des millions de fois, Mais celle-ci est ta première, Mais cette fois est ma première, Et c’est un émerveillement. Alors tu danses, Et tu me tiens, Pour cette nuit, Et par ce lit ; Tu es la vague, Tu es le vide, Tu es mon âme, Et mon désir. Bien sûr on refera l’amour Encore des millions de fois, Mais celle-ci est ta première, Mais cette fois est ma première, Et c’est un émerveillement. Tu es la vague, Tu es le feu. Je suis le fer, Je suis le sable. Tu viens vers moi, Je vais en toi. Et mon corps danse Entre tes doigts. Bien sûr on refera l’amour Encore des millions de fois, Mais cette nuit est ta première, Et cette fois est ma première Et c’est un émerveillement. Tu es la vague, Je suis la grève. Tu es le fer, Je suis le feu. Tu es la vague, Tu es mon rêve, Tu es mon âme, Et mon désir… Mmmmmh...
4.
Dans la nuit qui se soir se meurt Je ressens la douleur de cœur D’un vieil amour plus que passé. Et cet amour que j’aimais bien, Même s’il ne m’en reste plus rien, Je m’en souviens, je l’aimais bien… Moi je n’ai pas pu la quitter, Même si elle m’a quitté, Alors le soir, je la recrée. Je l’aimais ! Je l’aimais plus que moi ; Je l’aimais plus que l’autre. J’aimais la douceur de sa peau. J’aimais les choses qu’elle aimait. Et le voyais ce qu’elle voyait. J’avais pris mes quartiers d’hiver. Avec un peu de nostalgie, Je la modèle à ma mémoire ; Et quand ma mémoire est comblée, Elle vit ! Elle vit, comme l’autre ; Elle vit, comme avant. Avec les mêmes habitudes, Avec le même amour de vivre, Avec la même histoire d’amour, Et avec ma peau dans sa peau. * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Elle a les yeux en vagues rêves, Et les cheveux en vagues brèves De soleils couchants sur mon cœur. Elle a des sourires qui se dansent, Et ses hanches qui se balancent Ont tendance à me rendre fou. Dans l’océan de mes amours, Il y a toujours du soleil ; Mais quand ce soleil s’est noyé, Il y a la nuit ! Il y a la nuit, et sa peau ; Il y a la nuit, et sa peau. Avec des étoiles dans ses yeux, Et la vallée de son corps nu, Et la rivière qui coule en nous, Et tout ce bonheur entre nous. Elle a les yeux en vagues rêves, Et les cheveux en vagues brèves De soleils couchants sur mon cœur, De soleils couchants sur mon corps, De soleils couchants sur ma peau, De soleils couchants sur la mer.
5.
Bientôt je chanterai le ciel A l’aube du jour de ma vie, Et les oiseaux qui font leur nid Avec la même compagne ; Je chanterai pour les enfants L’amour tel qu’on devrait le faire. Et puis je chanterai avril, Avec un cerf et le soleil, La ville comme un grand jardin, Et des millions de pâquerettes. Je chanterai les rendez-vous, un peu de bonheur un peu fou, Et l’esprit qui revient aux filles. Il y aura des oiseaux-lyres Et de l’amour dans ton sourire, Et puis un très-très grand bonheur Qui te submergera le cœur, Et du temps libre. Tu auras mis pour te vêtir Ta robe claire et ton sourire, Et moi qui aime la lumière, j’enlèverai ta robe claire. Et tu seras belle à ravir Dans la lumière de ton sourire. Et quand la lune nous verra Sous le ciel avec plein d’étoiles, Et les étoiles de tes yeux Pour faire un pendant aux étoiles, Elle ira vite se noyer, elle ira vite se coucher, Pour ne pas trop nous déranger. Il y aura des oiseaux-lyres Et de l’amour, dans ton sourire, Et puis un très, très grand bonheur Qui te submergera le cœur, Et du temps libre. Et dans l’aurore qui viendra, Quand le soleil se lèvera, Ce premier jour de notre vie, Après la première tempête, Je te redirai que je t’aime Et tu me chanteras « je t’aime ». Et puis tu chanteras le ciel, avec le cerf, et le soleil, La ville comme un grand jardin, Et les millions de pâquerettes ; Tu chanteras pour nos enfants l’amour tel qu’on devrait le faire. Et il y-aura des oiseaux lyres et de l’amour dans ton sourire Et puis ce très, très grand bonheur Qui te submergera le cœur Et du temps libre.
6.
Un peu de blues au fond du verre, Un peu de drogue dans les veines, Un peu d'amour dans les rêves, Un peu de lune sur le tapis ; Et puis la nuit comme maîtresse, Et puis personne pour m'entendre, Cette musique qui veut sortir, Et le sommeil qui me ronge. Échec et mat, a dit la dame ; Échec et mat, a dit le roi ; Et puis la main a tout brisé, Et le soleil s'est éteint. Le verbe, enfin, s'est libéré, Pour le piano qui sera maître. Quand la musique emplit l'espace, Quand le soleil redevient chaud, Lorsque la femme s'est donnée, C'est là, que je sens mon cœur battre. Lorsque je me réveillerai l'ennui sera à mon côté, Mais pour l'instant rien ne me gène Et mon bonheur ne sait plus l'heure... Je serais dieu si je voulais, Mais je m'en fous : je veux la paix Quand la musique emplit l'espace, Quand le soleil redevient chaud, Lorsque la femme s'est donnée, C'est là, que je sens mon cœur battre. Sur ma guitare accroche-cœur, Mais sans le cœur, mais sans le cœur, Avec un peu de lassitude, Je recommence mes silences. Lorsque je me réveillerai L'ennui sera à mon côté. Quand la musique emplit l'espace, Quand le soleil redevient chaud, Lorsque la femme s'est donnée, C'est là que je sens mon cœur battre. Un peu de blues au fond du verre, un peu de drogue dans les veines, un peu d'amour dans mes rêves, un peu de lune sur le tapis. et puis la nuit comme maîtresse, et puis personne pour m'entendre, cette musique qui veut sortir, et le sommeil qui me ronge...
7.
Quinze ans 03:11
Elle a les yeux et les cheveux Comme le feu, et je m’en veux ; Mais je n’ai pas encore envie De lui dire qu’elle est ma vie Qu’elle a sa place dans mon lit Chaque fois que revient la nuit. Avoir quinze ans et pas de cran, Ne pas oser la regarder, Et s’en aller. Les gens, la rue, le cœur à nu ; Échafauder et puis marcher, Avoir ses mains tendues en vain, Le cœur encore qui bat trop fort, Qui bat trop fort, trop fort, trop fort. Je la regarde qui rougit, Et qui sourit, et qui s’enfuit. Mais moi j’ai le malaise au corps, Et cette vie au bas du corps Qui s’anime et qui vit encore Le soir, quand je m’endors. Avoir quinze ans et pas de cran, Ne pas oser la regarder, Et s’en aller. Les gens, la rue, le cœur à nu ; Échafauder et puis marcher, Avoir ses mains tendues en vain, Le cœur encore qui bat trop fort, Qui bat trop fort, trop fort, trop fort. Moi j’ai quinze ans et des boutons, Cette chanson... Je fais semblant de ne pas voir Ce type qui l’attend ce soir, Je fais semblant de ne pas croire Que je touche le désespoir.
8.
Féline 02:32
Une fille aux yeux verts me sourit tendrement. Les brumes de l’amour flottent sur notre lit, Et nous fumons un peu pour réparer nos forces Avant que de refaire encore une fois l’amour, L’amour, l’amour ; l’amour. Elle ne me parle pas de l’Homme, ni de Dieu, Je ne lui parle pas du temps, ni de l’oubli ; Elle me parle de moi, elle me parle de nous. Je lui chante son corps et lui dis notre amour, Notre amour, notre amour ; mon amour. Je l’ai enfin trouvée, et j’ai peine à y croire, Cette fille aux yeux verts qui habitait mes nuits. Elle me dit qu’elle m’aime, et je suis le premier Qu’elle ait laissé goûter à son corps de déesse * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Il y a un buisson au bord de la rivière ; Il y a un buisson au pied de l’arbre nu ; Et quand l’arbre à la fin plonge dans la rivière, Les buissons ne font qu’un. * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Elle s’est endormie, lovée contre mon corps, Comme une jeune chatte, tout imprégnée d’amour, Et moi je la regarde et mes mains malhabiles Effleurent tendrement sa peau chaude et dorée. Cette fille aux yeux verts qui m’a ensorcelé Me serre dans ses bras et me dit des mots tendres. Dans son demi-sommeil elle est encore plus belle ; Elle m’aime comme je l’aime, elle m’aime. Elle m’aime. Elle m’aime.
9.
Sauvagine 03:18
Tu m’as fait perdre ma boussole Et tu m’as jeté sur le sol. Tu ris et moi je suis assis Au milieu des bois, de la nuit, Des étoiles... tes étoiles. Tu cours, tu cours autour de moi, Tu veux me perdre dans tes bois ; Tu resserres tes bras de feuilles, Encore un peu et tu me cueilles, Sauvagine, Sauvagine. Tu me plais bien, tu sais, petite. Et tu me mènes par le bout du cœur. Viens par ici, j’ai préparé pour toi, petite, Un lit de mousse aux draps de fleurs, Sauvagine, Sauvagine. Sauvagine, si je t’attrape, Je te mettrai dedans mon cœur. Sauvagine si tu m’attrapes, Tu me noieras dans ta douceur Pleine de fleurs, pleine de fleurs. Les fleurs, je les aimais déjà, C’est même pour ça que j’étais là. Alors si tu cessais de rire, Moi je te ferai découvrir Des richesses, mes richesses. Tu me plais bien, tu sais, petite. Et tu me mènes par le bout du cœur. Viens par ici, j’ai préparé pour toi, petite, Un lit de mousse aux draps de fleurs, Sauvagine, Sauvagine. On dirait bien que tu m’égares Et que la lune a ton regard. Laisse-moi donc t’apprivoiser Je te dirai ce que je sais : Des bêtises, des bêtises. Voilà, je t’ai tout contre moi, Mais qu’est-ce qu’il y a ? Ne t’enfuis pas ! Pourquoi étais-tu déjà nue ? Pourquoi as-tu les pieds cornus ? Sauvagine, Sauvagine, Sauvagine ?
10.
Errances 03:22
Sur l’autoroute A220, Entre Manosque et Briançon, Les autos passent leur chemin : Elles me prennent pour un garçon... Moi qui attends sans crainte, le pouce au bout du cœur Moi qui attends sans crainte que vienne le bonheur Mon doux seigneur aux yeux si tendres Me mettait tant le cœur en cendres ! Alors je l’ai quitté dimanche Pour aller faire la manche... Moi qui attends sans crainte, le pouce au bout du cœur Moi qui attends sans crainte que vienne le bonheur Mais de la manche rien ne vint, Pas même un petit verre de vin ! Aussi je m’en fus en errance Sur les routes de France. Depuis j'attends sans crainte, le pouce au bout du cœur ; Depuis j'attends sans crainte que vienne le bonheur. Mon premier galant voyageur M’a menée à deux cents à l’heure, Et il m’a demandé mon âge, Et puis mon pucelage Moi qui attends sans crainte, le pouce au bout du cœur ; Moi qui attends sans crainte que vienne le bonheur. Je n’avais plus de pucelage, Puisque n’ai que mon cœur en gage... Mais j’ai refilé au coquin De galants acariens. Moi qui attends sans crainte, le pouce au bout du cœur ; Moi qui attends sans crainte que vienne le bonheur. Ainsi ont commencé pour moi Mes aventures de coin de bois… De Vladivostok à Angers J’ai fait l’amour par amitié. J’ai fait l’amour par amitié, Et aussi par nécessité... J’ai eu huit cent quarante amants, Je reviens avec leurs enfants. 2, 3 ! Nous attendons sans crainte que vienne le bonheur, Nous attendons sans crainte le pouce au bout du cœur... N’allez pas croire que mon histoire Est inventée, et dérisoire... Elles sont comme moi des centaines, Sur les routes qui trainent. Qui attendent sans crainte, le pouce au bout du cœur ; Qui attendent sans crainte que vienne le bonheur.
11.
Eros 03:14
La nuit est tout près de sa perte, Laisse donc la fenêtre ouverte. Nous ferons l’amour à l’aurore Dans un feu d’artifice d’or. Alors fais ruisseler tes mains Le long de mes hanches bien pleines, Et fais bondir ce sang éteint Le long du trajet de mes veines. Jusqu’à mon coeur, jusqu’à mon coeur Refrain : Donne-moi les matins sucrés Dont je rêvais depuis l’été, Fais-moi les mille et un amours Pour me faire enfin voir le jour… Viens faire couler sur ma peau L’eau de dizaines de ruisseaux Rebondissant sur mes seins blancs Et sur mon ventre palpitant. Presse-ma tête dans tes bras Jusqu’à te faire entrer en moi Et fais-moi sombrer dans les draps Qu’il n’y ait plus entre nos bras Que toi et moi, que toi et moi Refrain : Donne-moi les matins sucrés Dont je rêvais depuis l’été, Fais-moi les mille et un amours Pour me faire enfin voir le jour… Toi, tu me lècheras le corps Et mon cœur va battre plus fort, Alors la grande envie de danse Je la sentirai qui s’élance. Je vais me plier en accord Avec les vagues de ton corps Et lorsque je m’envolerai Je ne pourrai plus que crier, Rire et crier, rire, et pleurer ! Refrain : Donne-moi ce matin sucré Dont je rêvais depuis l’été, Fais-moi, fais-moi les mille et un amours Et puis laisse-moi voir le jour…

credits

released November 11, 2022

Paroles et musique : Jean, d'Oran
Direction artistique, solo sur féline : norha
Arrangements : norha, Jean, d'Oran
Photos, Infographie : Kevin Houri, Jean, d'Oran

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Jean, d'Oran France

Né à Oran, d'où le nom... J'ai écrit des chansons, mais sont arrivés Véronique Sanson, Maxime Le Forestier, Gérard Lenorman, Alain Souchon, Michel Jonasz Francis Cabrel... et les autres alors j'ai arrêté d'en faire et j'ai continué mes études de médecine.
La retraite arrivant, je me suis remis à la musique...
Et nous voilà ce soir...
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