1. |
Menthalo
04:15
|
|||
Je n’ai plus de soucis, je n’ai plus de folies.
Tu es partie loin de ma vie, tu es partie à l’infini.
Il n’y a plus d’étoiles dans tes yeux, d’ailleurs j’ai tout oublié de tes yeux ;
Les étoiles dans d’autres yeux, les étoiles parsèment les cieux.
Mais dans la nuit qui vient il y aura Vénus,
Et le jour qui viendra connaitra le soleil.
Je verrai d’autres gens, je ferai des enfants…
Mais il faut que tu saches
Que le printemps c’est toi,
Que chaque menthe à l’eau quand il fait chaud c’est toi,
Que dans mon univers tu fus reine six mois,
Que six mois passent vite quand on se sent heureux,
Que tu m’as fait goûter le plaisir d’être deux,
Et que quand on est deux on est souvent heureux.
Bien sûr, j’aurai pu te le dire plus tôt, je ne trouvais jamais les mots ;
J’avais toujours mal à mes maux, je ne trouvais pas le repos.
Évidemment c’est un peu tard, mais il faut enlever ce fard :
On ne s’avoue jamais trop tard, quand on n’est pas bien, quelque part.
Mais quelque part en moi il y avait un cœur,
Tu étais dans ce cœur, tu me cachais mon cœur,
Mais mon cœur est à moi, à mon âme et à moi.
Mais il faut que tu saches
Que le printemps c’est toi,
Que chaque menthe à l’eau quand il fait chaud c’est toi,
Que dans mon univers tu fus reine six mois,
Que six mois passent vite quand on se sent heureux,
Que tu m’as fait goûter le plaisir d’être deux,
Et que quand on est deux on est souvent heureux.
Voilà, tu disparais, la brume te balaie.
Je t’efface à jamais, tu es presque gommée.
Tu as ta place aux souvenirs, au chapitre de mes sourires.
Je ne vais plus pouvoir te lire, je dis adieu à ton navire.
Ton oiseau est entré au port des souvenirs,
Je n’ai plus rien de toi, juste quelques sourires ;
Tu commences ta vie, je vais vivre ma vie.
Mais il faut que tu saches
Que le printemps c’est toi,
Que chaque menthe à l’eau quand il fait chaud c’est toi,
Que dans mon univers tu fus reine six mois,
Que six mois passent vite quand on se sent heureux,
Que tu m’as fait goûter le plaisir d’être deux,
Et que quand on est deux on est souvent heureux.
Et que quand on est deux, on est parfois heureux.
|
||||
2. |
Des yeux de sienne
04:10
|
|||
Ses yeux qui reviennent vers ces grand yeux de Sienne.
Ces yeux qui l’évitent, mais qui lui sourient.
Et puis dans le noir ces yeux qui le cherchent,
Ces yeux qui le trouvent et puis
Le silence…
Et puis tout de suite ses yeux qui la quittent.
Ses yeux qui s’envolent
Pour faire arrêter cet arrêt de cœur,
Ce corps qui se tend et le feu de ce corps
Qui lui monte aux joues…
Après le silence son cœur qui s’emballe,
Ses doigts qui l’embêtent à faire ce qu’ils veulent…
… Un regard aux autres…
Ses yeux qui s’embrument…
Ne pas regarder vers ces grands yeux de Sienne,
Parc’qu’il y a ses joues qui le trahiraient.
Il ose regarder ces yeux qui le fixaient,
Et ils se regardent, toute une éternité !
Une cigarette... Où est son briquet ?
Elle doit lui sourire... Bon dieu, qu’est-ce qu’il fait chaud !
Tiens, son verre est vide... Où est son briquet ?
C’est bête d’aimer ces yeux qui le fixaient…
C’est bête d’aimer… Mais où est son briquet ?
Que pourrait-il lui dire qui ne la choque pas ?
Qui ne fasse pas rire et qui lui aille bien ?
Elle est comme un soleil quand elle veut bien sourire.
Et bien rare ici, Un soleil !
Elle est encore plus belle quand elle veut bien sourire.
Elle est comme un soleil, jaillissant de la mer,
Elle est….
leurs yeux se sont croisés l’espace d’une croche,
Et sur le fil tendu entre leurs deux regards sont passées tant de choses
Que je n’peux pas vous dire,
Qu’on peut seul’ment chanter,
Ou alors se les dire, les yeux au fond des yeux.
les yeux au fond des yeux.
Les yeux...
|
||||
3. |
Bien sûr
03:33
|
|||
Tu es la vague,
Je suis la grève.
Je suis le fer,
Tu es le feu.
Je vais en toi,
Tu viens en moi.
Tes hanches dansent
Entre mes bras
Bien sûr on refera l’amour
Encore des millions de fois,
Mais celle-ci est ta première,
Mais cette fois est ma première,
Et c’est un émerveillement.
Alors tu danses,
Et tu me tiens,
Pour cette nuit,
Et par ce lit ;
Tu es la vague,
Tu es le vide,
Tu es mon âme,
Et mon désir.
Bien sûr on refera l’amour
Encore des millions de fois,
Mais celle-ci est ta première,
Mais cette fois est ma première,
Et c’est un émerveillement.
Tu es la vague,
Tu es le feu.
Je suis le fer,
Je suis le sable.
Tu viens vers moi,
Je vais en toi.
Et mon corps danse
Entre tes doigts.
Bien sûr on refera l’amour
Encore des millions de fois,
Mais cette nuit est ta première,
Et cette fois est ma première
Et c’est un émerveillement.
Tu es la vague,
Je suis la grève.
Tu es le fer,
Je suis le feu.
Tu es la vague,
Tu es mon rêve,
Tu es mon âme,
Et mon désir…
Mmmmmh...
|
||||
4. |
Soleils couchants
04:49
|
|||
Dans la nuit qui se soir se meurt
Je ressens la douleur de cœur
D’un vieil amour plus que passé.
Et cet amour que j’aimais bien,
Même s’il ne m’en reste plus rien,
Je m’en souviens, je l’aimais bien…
Moi je n’ai pas pu la quitter,
Même si elle m’a quitté,
Alors le soir, je la recrée.
Je l’aimais !
Je l’aimais plus que moi ;
Je l’aimais plus que l’autre.
J’aimais la douceur de sa peau.
J’aimais les choses qu’elle aimait.
Et le voyais ce qu’elle voyait.
J’avais pris mes quartiers d’hiver.
Avec un peu de nostalgie,
Je la modèle à ma mémoire ;
Et quand ma mémoire est comblée,
Elle vit !
Elle vit, comme l’autre ;
Elle vit, comme avant.
Avec les mêmes habitudes,
Avec le même amour de vivre,
Avec la même histoire d’amour,
Et avec ma peau dans sa peau.
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
Elle a les yeux en vagues rêves,
Et les cheveux en vagues brèves
De soleils couchants sur mon cœur.
Elle a des sourires qui se dansent,
Et ses hanches qui se balancent
Ont tendance à me rendre fou.
Dans l’océan de mes amours,
Il y a toujours du soleil ;
Mais quand ce soleil s’est noyé,
Il y a la nuit !
Il y a la nuit, et sa peau ;
Il y a la nuit, et sa peau.
Avec des étoiles dans ses yeux,
Et la vallée de son corps nu,
Et la rivière qui coule en nous,
Et tout ce bonheur entre nous.
Elle a les yeux en vagues rêves,
Et les cheveux en vagues brèves
De soleils couchants sur mon cœur,
De soleils couchants sur mon corps,
De soleils couchants sur ma peau,
De soleils couchants sur la mer.
|
||||
5. |
Du temps libre
03:44
|
|||
Bientôt je chanterai le ciel
A l’aube du jour de ma vie,
Et les oiseaux qui font leur nid
Avec la même compagne ;
Je chanterai pour les enfants
L’amour tel qu’on devrait le faire.
Et puis je chanterai avril,
Avec un cerf et le soleil,
La ville comme un grand jardin,
Et des millions de pâquerettes.
Je chanterai les rendez-vous, un peu de bonheur un peu fou,
Et l’esprit qui revient aux filles.
Il y aura des oiseaux-lyres
Et de l’amour dans ton sourire,
Et puis un très-très grand bonheur
Qui te submergera le cœur,
Et du temps libre.
Tu auras mis pour te vêtir
Ta robe claire et ton sourire,
Et moi qui aime la lumière,
j’enlèverai ta robe claire.
Et tu seras belle à ravir
Dans la lumière de ton sourire.
Et quand la lune nous verra
Sous le ciel avec plein d’étoiles,
Et les étoiles de tes yeux
Pour faire un pendant aux étoiles,
Elle ira vite se noyer, elle ira vite se coucher,
Pour ne pas trop nous déranger.
Il y aura des oiseaux-lyres
Et de l’amour, dans ton sourire,
Et puis un très, très grand bonheur
Qui te submergera le cœur,
Et du temps libre.
Et dans l’aurore qui viendra,
Quand le soleil se lèvera,
Ce premier jour de notre vie,
Après la première tempête,
Je te redirai que je t’aime
Et tu me chanteras « je t’aime ».
Et puis tu chanteras le ciel, avec le cerf, et le soleil,
La ville comme un grand jardin,
Et les millions de pâquerettes ;
Tu chanteras pour nos enfants l’amour tel qu’on devrait le faire.
Et il y-aura des oiseaux lyres
et de l’amour dans ton sourire
Et puis ce très, très grand bonheur
Qui te submergera le cœur
Et du temps libre.
|
||||
6. |
Un peu de blues
03:26
|
|||
Un peu de blues au fond du verre,
Un peu de drogue dans les veines,
Un peu d'amour dans les rêves,
Un peu de lune sur le tapis ;
Et puis la nuit comme maîtresse,
Et puis personne pour m'entendre,
Cette musique qui veut sortir,
Et le sommeil qui me ronge.
Échec et mat, a dit la dame ;
Échec et mat, a dit le roi ;
Et puis la main a tout brisé,
Et le soleil s'est éteint.
Le verbe, enfin, s'est libéré,
Pour le piano qui sera maître.
Quand la musique emplit l'espace,
Quand le soleil redevient chaud,
Lorsque la femme s'est donnée,
C'est là, que je sens mon cœur battre.
Lorsque je me réveillerai
l'ennui sera à mon côté,
Mais pour l'instant rien ne me gène
Et mon bonheur ne sait plus l'heure...
Je serais dieu si je voulais,
Mais je m'en fous : je veux la paix
Quand la musique emplit l'espace,
Quand le soleil redevient chaud,
Lorsque la femme s'est donnée,
C'est là, que je sens mon cœur battre.
Sur ma guitare accroche-cœur,
Mais sans le cœur, mais sans le cœur,
Avec un peu de lassitude,
Je recommence mes silences.
Lorsque je me réveillerai
L'ennui sera à mon côté.
Quand la musique emplit l'espace,
Quand le soleil redevient chaud,
Lorsque la femme s'est donnée,
C'est là que je sens mon cœur battre.
Un peu de blues au fond du verre,
un peu de drogue dans les veines,
un peu d'amour dans mes rêves,
un peu de lune sur le tapis.
et puis la nuit comme maîtresse,
et puis personne pour m'entendre,
cette musique qui veut sortir,
et le sommeil qui me ronge...
|
||||
7. |
Quinze ans
03:11
|
|||
Elle a les yeux et les cheveux
Comme le feu, et je m’en veux ;
Mais je n’ai pas encore envie
De lui dire qu’elle est ma vie
Qu’elle a sa place dans mon lit
Chaque fois que revient la nuit.
Avoir quinze ans et pas de cran,
Ne pas oser la regarder,
Et s’en aller.
Les gens, la rue, le cœur à nu ;
Échafauder et puis marcher,
Avoir ses mains tendues en vain,
Le cœur encore qui bat trop fort,
Qui bat trop fort, trop fort, trop fort.
Je la regarde qui rougit,
Et qui sourit, et qui s’enfuit.
Mais moi j’ai le malaise au corps,
Et cette vie au bas du corps
Qui s’anime et qui vit encore
Le soir, quand je m’endors.
Avoir quinze ans et pas de cran,
Ne pas oser la regarder,
Et s’en aller.
Les gens, la rue, le cœur à nu ;
Échafauder et puis marcher,
Avoir ses mains tendues en vain,
Le cœur encore qui bat trop fort,
Qui bat trop fort, trop fort, trop fort.
Moi j’ai quinze ans et des boutons,
Cette chanson...
Je fais semblant de ne pas voir
Ce type qui l’attend ce soir,
Je fais semblant de ne pas croire
Que je touche le désespoir.
|
||||
8. |
Féline
02:32
|
|||
Une fille aux yeux verts me sourit tendrement.
Les brumes de l’amour flottent sur notre lit,
Et nous fumons un peu pour réparer nos forces
Avant que de refaire encore une fois l’amour,
L’amour, l’amour ; l’amour.
Elle ne me parle pas de l’Homme, ni de Dieu,
Je ne lui parle pas du temps, ni de l’oubli ;
Elle me parle de moi, elle me parle de nous.
Je lui chante son corps et lui dis notre amour,
Notre amour, notre amour ; mon amour.
Je l’ai enfin trouvée, et j’ai peine à y croire,
Cette fille aux yeux verts qui habitait mes nuits.
Elle me dit qu’elle m’aime, et je suis le premier
Qu’elle ait laissé goûter à son corps de déesse
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
Il y a un buisson au bord de la rivière ;
Il y a un buisson au pied de l’arbre nu ;
Et quand l’arbre à la fin plonge dans la rivière,
Les buissons ne font qu’un.
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
Elle s’est endormie, lovée contre mon corps,
Comme une jeune chatte, tout imprégnée d’amour,
Et moi je la regarde et mes mains malhabiles
Effleurent tendrement sa peau chaude et dorée.
Cette fille aux yeux verts qui m’a ensorcelé
Me serre dans ses bras et me dit des mots tendres.
Dans son demi-sommeil elle est encore plus belle ;
Elle m’aime comme je l’aime, elle m’aime.
Elle m’aime.
Elle m’aime.
|
||||
9. |
Sauvagine
03:18
|
|||
Tu m’as fait perdre ma boussole
Et tu m’as jeté sur le sol.
Tu ris et moi je suis assis
Au milieu des bois, de la nuit,
Des étoiles... tes étoiles.
Tu cours, tu cours autour de moi,
Tu veux me perdre dans tes bois ;
Tu resserres tes bras de feuilles,
Encore un peu et tu me cueilles,
Sauvagine, Sauvagine.
Tu me plais bien, tu sais, petite.
Et tu me mènes par le bout du cœur.
Viens par ici, j’ai préparé pour toi, petite,
Un lit de mousse aux draps de fleurs,
Sauvagine, Sauvagine.
Sauvagine, si je t’attrape,
Je te mettrai dedans mon cœur.
Sauvagine si tu m’attrapes,
Tu me noieras dans ta douceur
Pleine de fleurs, pleine de fleurs.
Les fleurs, je les aimais déjà,
C’est même pour ça que j’étais là.
Alors si tu cessais de rire,
Moi je te ferai découvrir
Des richesses, mes richesses.
Tu me plais bien, tu sais, petite.
Et tu me mènes par le bout du cœur.
Viens par ici, j’ai préparé pour toi, petite,
Un lit de mousse aux draps de fleurs,
Sauvagine, Sauvagine.
On dirait bien que tu m’égares
Et que la lune a ton regard.
Laisse-moi donc t’apprivoiser
Je te dirai ce que je sais :
Des bêtises, des bêtises.
Voilà, je t’ai tout contre moi,
Mais qu’est-ce qu’il y a ?
Ne t’enfuis pas !
Pourquoi étais-tu déjà nue ?
Pourquoi as-tu les pieds cornus ?
Sauvagine,
Sauvagine,
Sauvagine ?
|
||||
10. |
Errances
03:22
|
|||
Sur l’autoroute A220,
Entre Manosque et Briançon,
Les autos passent leur chemin :
Elles me prennent pour un garçon...
Moi qui attends sans crainte, le pouce au bout du cœur
Moi qui attends sans crainte que vienne le bonheur
Mon doux seigneur aux yeux si tendres
Me mettait tant le cœur en cendres !
Alors je l’ai quitté dimanche
Pour aller faire la manche...
Moi qui attends sans crainte, le pouce au bout du cœur
Moi qui attends sans crainte que vienne le bonheur
Mais de la manche rien ne vint,
Pas même un petit verre de vin !
Aussi je m’en fus en errance
Sur les routes de France.
Depuis j'attends sans crainte, le pouce au bout du cœur ;
Depuis j'attends sans crainte que vienne le bonheur.
Mon premier galant voyageur
M’a menée à deux cents à l’heure,
Et il m’a demandé mon âge,
Et puis mon pucelage
Moi qui attends sans crainte, le pouce au bout du cœur ;
Moi qui attends sans crainte que vienne le bonheur.
Je n’avais plus de pucelage,
Puisque n’ai que mon cœur en gage...
Mais j’ai refilé au coquin
De galants acariens.
Moi qui attends sans crainte, le pouce au bout du cœur ;
Moi qui attends sans crainte que vienne le bonheur.
Ainsi ont commencé pour moi
Mes aventures de coin de bois…
De Vladivostok à Angers
J’ai fait l’amour par amitié.
J’ai fait l’amour par amitié,
Et aussi par nécessité...
J’ai eu huit cent quarante amants,
Je reviens avec leurs enfants.
2, 3 !
Nous attendons sans crainte que vienne le bonheur,
Nous attendons sans crainte le pouce au bout du cœur...
N’allez pas croire que mon histoire
Est inventée, et dérisoire...
Elles sont comme moi des centaines,
Sur les routes qui trainent.
Qui attendent sans crainte, le pouce au bout du cœur ;
Qui attendent sans crainte que vienne le bonheur.
|
||||
11. |
Eros
03:14
|
|||
La nuit est tout près de sa perte,
Laisse donc la fenêtre ouverte.
Nous ferons l’amour à l’aurore
Dans un feu d’artifice d’or.
Alors fais ruisseler tes mains
Le long de mes hanches bien pleines,
Et fais bondir ce sang éteint
Le long du trajet de mes veines.
Jusqu’à mon coeur, jusqu’à mon coeur
Refrain : Donne-moi les matins sucrés
Dont je rêvais depuis l’été,
Fais-moi les mille et un amours
Pour me faire enfin voir le jour…
Viens faire couler sur ma peau
L’eau de dizaines de ruisseaux
Rebondissant sur mes seins blancs
Et sur mon ventre palpitant.
Presse-ma tête dans tes bras
Jusqu’à te faire entrer en moi
Et fais-moi sombrer dans les draps
Qu’il n’y ait plus entre nos bras
Que toi et moi, que toi et moi
Refrain : Donne-moi les matins sucrés
Dont je rêvais depuis l’été,
Fais-moi les mille et un amours
Pour me faire enfin voir le jour…
Toi, tu me lècheras le corps
Et mon cœur va battre plus fort,
Alors la grande envie de danse
Je la sentirai qui s’élance.
Je vais me plier en accord
Avec les vagues de ton corps
Et lorsque je m’envolerai
Je ne pourrai plus que crier,
Rire et crier, rire, et pleurer !
Refrain : Donne-moi ce matin sucré
Dont je rêvais depuis l’été,
Fais-moi, fais-moi les mille et un amours
Et puis laisse-moi voir le jour…
|
Jean, d'Oran France
Né à Oran, d'où le nom... J'ai écrit des chansons, mais sont arrivés Véronique Sanson, Maxime Le Forestier, Gérard Lenorman,
Alain Souchon, Michel Jonasz Francis Cabrel... et les autres alors j'ai arrêté d'en faire et j'ai continué mes études de médecine.
La retraite arrivant, je me suis remis à la musique...
Et nous voilà ce soir...
... more
Streaming and Download help
If you like Jean, d'Oran, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp